En résumé
La gamme Surface de Microsoft se compose toujours de modèles assez différents les uns des autres. La composante « hybride » est notamment assurée par cette Surface Pro 8 qui vient rajeunir l’offre grâce à un écran un peu plus grand et une évolution vers la 11ᵉ génération de processeurs Intel. Dans le cas présent, il s’agit d’un Core i5-1135G7 capable d’atteindre 2,7 GHz et, notamment handicapé par seulement 8 Go de mémoire vive, cela ne suffit pas pour offrir des performances totalement convaincantes. L’écran passe donc sur une dalle 13 pouces dont on retiendra surtout qu’elle peut monter jusqu’au 120 Hz pour un indéniable confort de lecture. Pour le reste, l’affichage est dans la moyenne et ne brille dans aucun domaine particulier. Le plus gênant avec cette Surface Pro 8 : Microsoft paie clairement la compacité de son produit et l’autonomie d’à peine plus de 5 heures est loin, très loin des promesses (16 h annoncées). Pour un outil de travail globe-trotter, c’est un handicap très lourd qui n’est pas arrangé par la politique tarifaire de Microsoft. Si le clavier et le stylet viennent remarquablement compléter l’offre Surface, ils sont en option et renchérissent encore le coût de la solution. Dommage.
Note technique
Les plus et les moins
- Format toujours aussi agréable
- Écran de bonne taille et jusqu'à 120 Hz
- En option, le clavier et le stylet sont très bons
- Excellent niveau de finition
- Performances en demi-teinte
- Faible autonomie, très loin de celle annoncée
- L'audio, tout juste correct
- Tarification discutable, coût élevé des « accessoires »
Détail des sous notes
Notre test détaillé
Général
Écran
Performances informatiques
Autonomie
Audio
Connectivité
Dimensions & poids
Conclusion
La gamme Surface de Microsoft se compose toujours de modèles assez différents les uns des autres. La composante « hybride » est notamment assurée par cette Surface Pro 8 qui vient rajeunir l’offre grâce à un écran un peu plus grand et une évolution vers la 11ᵉ génération de processeurs Intel. Dans le cas présent, il s’agit d’un Core i5-1135G7 capable d’atteindre 2,7 GHz et, notamment handicapé par seulement 8 Go de mémoire vive, cela ne suffit pas pour offrir des performances totalement convaincantes. L’écran passe donc sur une dalle 13 pouces dont on retiendra surtout qu’elle peut monter jusqu’au 120 Hz pour un indéniable confort de lecture. Pour le reste, l’affichage est dans la moyenne et ne brille dans aucun domaine particulier. Le plus gênant avec cette Surface Pro 8 : Microsoft paie clairement la compacité de son produit et l’autonomie d’à peine plus de 5 heures est loin, très loin des promesses (16 h annoncées). Pour un outil de travail globe-trotter, c’est un handicap très lourd qui n’est pas arrangé par la politique tarifaire de Microsoft. Si le clavier et le stylet viennent remarquablement compléter l’offre Surface, ils sont en option et renchérissent encore le coût de la solution. Dommage.