En résumé
Il y a quelques mois à peine, Apple avait marqué les esprits avec sa puce M1 maison. Il faut dire que personne n’attendait un tel niveau de performances pour la toute première puce du fabricant. Logiquement, les nouvelles versions améliorées de cette puce, les M1 Pro et M1 Max, étaient attendues de pied ferme. Des déclinaisons annoncées comme étant plus performants, que l’on retrouve donc sans surprise dans des machines haut de gamme. À l’instar du MacBook Pro 16 que nous testons ici.
Apple nous a habitué à l’excellence sur ce genre de modèle et le nouveau venu ne déroge pas à la règle. Outre une autonomie très convaincante – de près de 14h dans notre test -, ce MacBook Pro profite également d’un très bel écran. Si on trouve à redire sur sa directivité, il s’avère en revanche excellent en matière de fidélité colorimétrique et de contrastes. Ajoutez à cela sa grande diagonale de 16 » et sa définition de 3024 x 1964 pixels, et vous ne serez pas surpris de lire que travailler ou consulter des contenus multimédias sur cet écran est un véritable plaisir.
Mais toutes ces qualités, les précédents MacBook Pro les arboraient déjà. Nous nous sommes donc longuement penchés sur la nouveauté de l’appareil : sa puce M1 Pro. Le fabricant fait fort, en améliorant encore sensiblement les performances globales. Que ce soit pour la bureautique, les jeux ou la retouche photo, impossible de prendre ce MacBook Pro en défaut. D’autant que la puce est épaulée par 16 Go de RAM de mémoire vive et un SSD de 512 Go (465 Go utilisables) pour le stockage.
Note technique
Les plus et les moins
- La puissance de la nouvelle puce Apple M1 Pro
- La colorimétrie et les contrastes de l'écran
- La directivité moyenne de l'écran
Détail des sous notes
Notre test détaillé
Général
Écran
Performances informatiques
Autonomie
Audio
Connectivité
Dimensions & poids
Conclusion
Il y a quelques mois à peine, Apple avait marqué les esprits avec sa puce M1 maison. Il faut dire que personne n’attendait un tel niveau de performances pour la toute première puce du fabricant. Logiquement, les nouvelles versions améliorées de cette puce, les M1 Pro et M1 Max, étaient attendues de pied ferme. Des déclinaisons annoncées comme étant plus performants, que l’on retrouve donc sans surprise dans des machines haut de gamme. À l’instar du MacBook Pro 16 que nous testons ici.
Apple nous a habitué à l’excellence sur ce genre de modèle et le nouveau venu ne déroge pas à la règle. Outre une autonomie très convaincante – de près de 14h dans notre test -, ce MacBook Pro profite également d’un très bel écran. Si on trouve à redire sur sa directivité, il s’avère en revanche excellent en matière de fidélité colorimétrique et de contrastes. Ajoutez à cela sa grande diagonale de 16 » et sa définition de 3024 x 1964 pixels, et vous ne serez pas surpris de lire que travailler ou consulter des contenus multimédias sur cet écran est un véritable plaisir.
Mais toutes ces qualités, les précédents MacBook Pro les arboraient déjà. Nous nous sommes donc longuement penchés sur la nouveauté de l’appareil : sa puce M1 Pro. Le fabricant fait fort, en améliorant encore sensiblement les performances globales. Que ce soit pour la bureautique, les jeux ou la retouche photo, impossible de prendre ce MacBook Pro en défaut. D’autant que la puce est épaulée par 16 Go de RAM de mémoire vive et un SSD de 512 Go (465 Go utilisables) pour le stockage.