L’entreprise française qui cherche à offrir un son pur vient de dévoiler au grand public sa nouvelle enceinte : la Reactor. Un modèle miniature de la Phantom, qui n’a clairement rien à envier à sa grande sœur.
Un très beau bébé
Ce qui surprend tout d’abord, c’est la taille de cette nouvelle enceinte. Elle est 4 fois plus petite que la Phantom. Elle reprend son design mais dans un format dépassant de peu les 21 centimètres de largeur et les 15 centimètres de longueur. Autant dire qu’elle saura se faire discrète, peu importe la pièce dans laquelle elle sera installée.
En termes de poids, comptez 4,3 kg contre 11,4 kg pour sa grande sœur la Devialet Phantom.
L’entreprise française a également retenu les leçons de sa Phantom puisque la Reactor propose des commandes tactiles sur le dessus de cette dernière. Contrôle du volume ou encore changer de morceau pourra se faire sans forcément passer par votre smartphone.
Un petit monstre de son
Elle embarque trois haut-parleurs : 2 qui s’occupent des basses et 1 autre qui s’occupe du reste, à savoir les médiums ainsi que les aigus. Le tout permettra de délivrer un son allant de 95 décibels à 98 décibels selon le modèle choisi. Car oui, la Reactor arrive en 2 itérations. Vous aurez le choix entre une version d’une puissance de 600W et un autre d’une puissance de 900W.
Niveau technologie, la Phantom Reactor propose le Bluetooth, AirPlay ou encore Spotify Connect. Elle dispose d’une entrée jack ainsi que d’une entrée optique. AirPlay 2, qui permet de faire du multiroom, n’est pas encore inclus dans l’enceinte mais arrivera plus tard via une mise à jour.
Pour contrôler ce bijou, il faudra passer pas une application dédiée. Néanmoins, celle-ci n’inclut pas les sources audio (comme le fait Sonos par exemple). Devialet estime que les utilisateurs préfèrent passer directement pas les applications natives des services de streaming.
Enfin, pour ceux qui s’attendaient à pouvoir monter deux enceintes en stéréo, il faudra attendre. En effet, tout comme pour AirPlay 2, la stéréo arrivera bien plus tard. Les dirigeants ont confirmé que le protocole fonctionnait déjà dans leurs labos mais que pour en faire profiter tout le monde, c’était encore quelque peu compliqué.