Petite surprise présentée par Ubisoft lors de sa conférence de l’E3 2018, Starlink reprend le flambeau des jeux-jouet vidéo : ces jeux vidéo qui utilisent des petites figurines comme feu Lego Dimensions, Disney Infinity ou encore Skylanders.
L’espace comme terrain de jeu
Le scénario de cette nouvelle aventure est assez basique et accessible. Vous incarnez un pilote et devez délivrer des planètes d’une invasion robotique. Le système stéllaire d’Atlas comptera au total 7 planètes que vous pourrez visiter à tout moment comme bon vous semble et sans temps de chargement. Mais attention chaque planète a sa propre difficulté. On est bien loin des histoires que l’on trouve habituellement dans les grosses productions de l’éditeur français, mais ce n’est pas grave. Starlink mise avant tout sur la facilité et le fun du gameplay pour attirer le plus grand nombre.
De fait, les commandes seront relativement simplifiées puisque les joysticks serviront au contrôle et à la vitesse de votre vaisseau. Les gâchettes, elles, vous permettront de tirer avec vos différentes armes tandis que les boutons classiques s’occuperont de couper les moteurs ou de passer en mode « speeder » lorsque vous voudrez vous balader rapidement sur une planète en rasant le sol.
Modulable à l’envie
Vous l’aurez sans doute compris, l’intérêt principal de Starlink : Battle for Atlas réside dans la personnalisation à l’envie de vos vaisseaux. Vous commencerez par acheter un pack de démarrage –à 80 euros- exclusif à chaque console (celui sur Nintendo Switch propose le vaisseau de Starfox !). Si vous voulez changer des pièces ou ajouter de nouvelles armes, il faudra passer à la caisse. Les prix des DLC physiques varieront entre 7,99 euros pour un pilote, 11,99 euros pour un pack d’armes ou encore 29,99 euros pour un vaisseau flambant neuf. A noter que le vaisseau du héros Levi sera disponible en exclusivité à la Fnac et doublé en français par le youtubeur Norman.
Le socle à placer sur la manette a eté très bien pensé. Que ce soit sur Xbox One, PlayStation 4 ou Switch, l’astronef et le support s’adaptent trés bien à l’architecture de la manette. Léger, le vaisseau ne vous encombrera pas et ne gâchera en aucun cas votre expérience de jeu. Sur Switch le schéma est le même que si vous jouiez avec le support de Joy-Con.
Le studio a même été dans les moindres détails, car si vous mettez à l’envers un module d’armement, il apparaitra à l’écran comme tel et vous pourrez tirer en arrière pour abattre vos ennemis. Chaque véhicule étant différent, vous pourrez allègrement combiner les armes. Et cela aura forcément un impact sur le gameplay puisque vous pourrez affronter des ennemis plus puissants. En d’autres termes, il faudra, à un moment ou à un autre, repasser à la caisse. Mais si le fun est plus que présent, cela ne devrait pas être un frein.
