Phénomène musical né sur la toile, Keen’V s’est construit à l’écart des médias et de la foule, dans sa campagne. Artiste de tous les records dans un beau mélange des genres (ragga dance hall, pop, rock, zouk, etc.), Keen’V enchaine les disques depuis 2008, gagne une récompense en 2012, puis son dernier album Thérapie n’atteint pas le succès espéré. Le 7 mai Keen’V revient avec Rêver son nouvel album plein d’espoir.
Phénomène musical né sur la toile, Keen’V s’est construit à l’écart des médias et de la foule, dans sa campagne. Artiste de tous les records dans un beau mélange des genres (ragga dance hall, pop, rock, zouk, etc.), Keen’V enchaine les disques depuis 2008, gagne une récompense en 2012, puis son dernier album Thérapie n’atteint pas le succès espéré. Il revient avec Rêver, son nouvel album plein d’espoir.
Keen’V, l’autodidacte 2.0
De son vrai nom Kevin Bonnet, Keen’V est animateur puis DJ dans les boites de nuit lorsqu’il imagine son premier album, Phenom’N. Il se fait connaitre dans les discothèques avec son premier titre A l’horizontal. Le succès est au rendez-vous puisqu’il enchaine une cinquantaine de dates. En parallèle, il développe sa notoriété sur internet et se construit sa petite communauté. Teintées de gaudrioles et de machisme, ses paroles plutôt triviales et sans chichis trouvent rapidement des afficionados, lassés d’une chanson française trop codifiée. Dans son premier album, le chanteur s’offre une reprise ragga de La pêche au moule et même une reprise de La Sampa de Richard Gotainer dans Le son qui fait Bam Bam.
Keen’V, une carrière encensée par le public
Début 2011, Keen’V revient avec le premier titre de son second album, J’aimerais trop qui grimpe rapidement à troisième place du top et fait un carton dans les discothèques. Sorti dès septembre 2010 sur les plateformes de téléchargement légal, son deuxième album Carpe Diem se classe dans le Top 10 sur iTunes sans maison de disques et voit le jour en juin 2011 chez Universal. Prince Charmant, le deuxième single, devient lui aussi numéro 1 dans les clubs en France. Sous les feux de la rampe, Keen’V sort l’été suivant son troisième opus La Vie est Belle qui englobe tous les ingrédients pour faire un carton, dont les tubes Ma vie au Soleil ou Elle t’a maté, teintés de rythmes tropicaux. Malgré ses atouts et son succès, l’album n’arrive pas à décoller en dehors des discothèques. Keen’V ne va pour autant pas dévier de sa voie et va sortir Ange ou Démon en juillet 2013 épaulé par sa sœur Lorelei B. et par ses invités Cauet et Willy William.
Keen’V adoubé par les médias
L’année 2013/2014 accueille une première tournée triomphale. L’auteur-compositeur-interprète participe à deux émissions télé populaires : Splash, le grand plongeon et Danse avec les stars, qui vont lui permettre de se faire connaître par un public encore plus large et de gagner en capital sympathie. En juillet 2014, il sort son cinquième album, Saltimbanque, introduit en fanfare par les singles Dis-moi oui (Marina) et Certains m’appellent. Ce dernier album ajoute à la dance ragga du chanteur des teintes latino et balkaniques.
Rêver, un retour plein d’espoir
Après la sortie de Thérapie en 2019 qui n’a pas connu le succès espéré, Keen’V revient en mai 2021 avec Rêver. Cet opus a été introduit par un premier single sorti au printemps dernier Tahiti. Le tube est devenu très rapidement un succès passant en boucle à la radio tout l’été. C’est une belle bouffée d’air frais pour le chanteur qui retrouve sa popularité auprès de son public. On retrouve également sur cet album les titres Je garde le sourire et Quoi qu’il arrive un titre en duo avec les Magic System. L’annonce de cette sortie sur les réseaux sociaux nous permet de découvrir la belle pochette de l’album, qui nous donne des envies de voyages sur une belle plage paradisiaque.
