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Mort de Donna Summer & Robin Gibb : le Disco en deuil

25 mai 2012
Par Julien D.
Mort de Donna Summer & Robin Gibb : le Disco en deuil
©dr

Comme vous l’avez probablement vu, lu, entendu, twitté, facebooké, la semaine passée a vu deux icônes du disco disparaître à jamais. La chanteuse afro-américaine Donna Summer et l’anglo-australien Robin Gibb se sont éteints à quelques jours d’intervalles. Elle chantait l’amour brut, lui des hymnes à la vie. Hot stuff & Staying alive ne résonneront désormais plus jamais comme avant.

Comme vous l’avez probablement vu, lu, entendu, twitté, facebooké, la semaine passée a vu deux icônes du disco disparaître à jamais. La chanteuse afro-américaine Donna Summer et l’anglo-australien Robin Gibb se sont éteints à quelques jours d’intervalles. Elle chantait l’amour brut, lui des hymnes à la vie. Hot stuff & Staying alive ne résonneront désormais plus jamais comme avant.

Je ne pense pas me tromper en annonçant que du haut de leurs 130 et 220 millions de disques vendus (respectivement) on aurait le droit de les affubler des patronymes de Queen & King of disco. Hot stuff, Love to love you baby, I feel love tout comme Staying Alive, Night fever, You should be dancing sont des titres qui semblent faire parti du patrimoine musical mondial et grandement populaire.

Alors ok, c’est vrai : c’est de la grosse cavalerie, et le disco, comme tout genre à part, comporte aussi ses talentueux et obscure interprètes. Pour cela reportez-vous à l’excellente série disco discharge (chez harmless), et vous découvrirez la face cachée de ce phénomène musical typiquement seventies. Je vous mentirais si je vous disais qu’il n’y a pas une semaine qui se déroule sans que je glisse dans mes oreilles les douces harmonies vocales des frangins Gibb’s ou le timbre sensuel de Donna Summer.

Mais que ce soit sur les beats « proto-dance » d’I feel love mis au point par Giorgio Moroder, (qui de mon point de vue, n’ont pas grand chose à envier à certaine production electro-pop actuelles), ou sur les compositions « catchy » des anglais permanentés que furent les Bee Gees, force est de constater que les morceaux de nos deux défunts ont le mérite d’être rudement efficaces. Des titres qui dans le passé, dans le présent et probablement dans le futur, n’ont pas fini d’enflammer les pistes de danse d’ici ou d’ailleurs, clubs berlinois branchouille ou mariage de tonton et tata : même combat !

Article rédigé par
Julien D.
Julien D.
Disquaire à la Fnac Montparnasse
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