Très attendu depuis le succès de Harry Styles (2017) et Fine Line (2019), le troisième album studio de l’auteur, compositeur et interprète britannique vient d’être annoncé hier.
Les réseaux sociaux bouillonnaient d’impatience depuis plusieurs semaines déjà ; ils se sont enflammés hier, alors qu’Harry Styles y annonçait, enfin, la sortie de son prochain album, Harry’s House. Le nouvel opus sera disponible le 20 mai.
Si son deuxième album solo avait fini d’imposer le chanteur dans l’industrie musicale – Fine Line (2019) est en effet Disque d’or dans plus de sept pays, double Disque de platine aux États-Unis, et s’est classé parmi les 500 plus grands albums de tous les temps par le prestigieux magazine Rolling Stone – Harry Styles semblait occupé à d’autres projets depuis plusieurs mois.
Après avoir été à l’affiche de Dunkirk (Christopher Nolan, 2017), l’auteur, compositeur et interprète – qui prête aussi son visage et son corps à la maison Gucci depuis plusieurs années – s’est attardé dans le milieu du cinéma. Il a ainsi tourné dans le film réalisé par Olivia Wilde, Don’t Worry Darling, dans lequel il partage l’affiche avec l’actrice Florence Pugh, et dans My policeman (Michal Grandage), avec Emma Corrin et David Dawson.
Mais alors qu’il a achevé cet hiver la partie américaine de sa tournée Love On Tour, et à quelques semaines de parcourir à nouveau l’Europe, Harry Styles semble plus que jamais tourné vers la musique. Et le public, quant à lui, attend de pied ferme les nouveaux tubes entraînants et sensuel – à l’image de l’inoubliable Watermelon Sugar – et les prochaines ballades mélancoliques à l’écriture soignée – telle que Falling – que promet Harry’s House.
Pour l’artiste qui travaille autant son identité visuelle que sa musique, chaque nouvel album offre l’occasion de renouveler son univers ; et Harry’s House semble annoncer une ère épurée et coquette. Fidèle à son habitude de subversion des codes genrés – et parfois du bon goût, il faut le reconnaître – Harry Styles ose, sur la pochette de son album, les ballerines blanches (!). On attend donc avec autant d’impatience ces chansons que les tenues que le directeur de la création de la maison Gucci, Alessandro Michele, réserve à sa muse.
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