Le nouveau jeu d’Amazon Games mise sur la coopération et la fantaisie pour séduire ses joueurs. Développé par Glowmade, le titre sort le 7 octobre avec un accès anticipé dès le 2.
Avis aux joueurs en quête de coop musclée. Développé par le studio britannique Glowmade et édité par Amazon Games, King of Meat entend s’imposer comme la nouvelle licence multijoueur de cette fin d’année. Le titre sera disponible dès le 2 octobre en accès anticipé, avant son lancement officiel le 7 octobre sur PC via Steam, PlayStation 5 et Xbox Series X|S. Une version Switch a été annoncée, sans date précise pour le moment.
Un univers pensé comme un show
L’action se déroule dans Loregok, un monde où les participants, appelés « Contenders », doivent survivre à des donjons tout en divertissant une audience. L’ambiance, volontairement outrancière, oscille entre fantasy et culture pop. L’idée : faire du joueur un combattant, mais aussi un acteur d’un gigantesque divertissement.

Le titre mise sur la coopération. Jusqu’à quatre joueurs peuvent s’allier pour affronter les pièges et ennemis. Plus d’une centaine de niveaux conçus par Glowmade seront disponibles au lancement, mais la communauté pourra enrichir cette offre grâce au mode « Create », permettant de bâtir ses propres donjons avant de les soumettre à la communauté.
Action et créativité
King of Meat n’est pas un simple hack & slash. Il intègre des phases de plateformes, des puzzles et des séquences de combat. Le jeu encourage la fantaisie grâce aux « Glory Moves », des enchaînements qui marquent des points auprès de l’audience.

La progression repose sur le déblocage de capacités et d’éléments cosmétiques. La personnalisation est centrale : costumes, accessoires, armes visuelles et émotes permettent de modeler son avatar. Amazon insiste sur l’absence de « pay-to-win » : les microtransactions concernent uniquement des éléments cosmétiques, sans loot boxes ni contenu aléatoire.
Côté technique, le jeu impose une connexion permanente : aucun mode hors ligne n’est proposé. Il utilise le système Easy Anti-Cheat pour sécuriser les serveurs et se veut accessible en plusieurs langues, dont le français. Une phase de test technique a d’ailleurs été organisée en août pour éprouver la stabilité du multijoueur.