Mystères et drames familiaux se mêlent dans L’Éclipse, la nouvelle minisérie policière de France 2, diffusée à partir du 4 septembre. Sous l’ombre d’une éclipse, une enquête captivante se déploie dans les paysages austères de l’Aubrac.
Pour la rentrée, France 2 nous plonge dans l’univers intrigant de L’Éclipse, une nouvelle minisérie policière qui mêle tensions familiales et mystères sous un ciel chargé de secrets. Réalisé par Franck Brett, connu pour son travail sur des séries telles que Les Ombres du passé et Les Enquêtes de Vera, ce thriller en six épisodes promet de captiver les téléspectateurs grâce à sa narration sombre et une bonne dose de suspense à la française. Le premier épisode est à découvrir sur les écrans ce 4 septembre, à 21h10.
Une enquête sous tension dans un décor sauvage
La minisérie se déroule dans le cadre austère et sauvage du plateau de l’Aubrac. Le récit commence lors d’un soir d’éclipse où Luca, un adolescent de 17 ans, tire accidentellement sur sa petite amie Nour avec l’arme de service de sa mère, Manue, gendarme de profession. Nour disparaît alors mystérieusement, déclenchant une enquête complexe menée par Manue et Johanna, deux gendarmes et mères des adolescents impliqués.
Les deux femmes doivent naviguer à travers les secrets de la communauté locale, où les tensions familiales et les intérêts personnels compliquent l’enquête. Les dilemmes moraux et les enjeux personnels viennent rapidement se mêler à la recherche de la vérité, promettant de multiples rebondissements.
Casting de choix pour un polar rural
Le casting réunit des acteurs bien connus du public français. Claire Keim (vue dans Zodiaque et Insoupçonnable) incarne Johanna Croiset, tandis que Anne Charrier (Meurtres à Blois et Maison close) joue le rôle de Manue Vitali. Hubert Delattre (reconnu pour son rôle dans Les Revenants) interprète le procureur David Levy, un personnage clé dans l’avancée de l’enquête.
Déjà diffusée en Suisse et en Belgique en août 2024, L’Éclipse a suscité des réactions mitigées. Certains – critiques comme spectateurs – saluent l’atmosphère oppressante et le décor bien capturé, qui apportent une profondeur supplémentaire à l’intrigue. Le cadre rural de l’Aubrac, rarement exploité dans les polars, a particulièrement été apprécié pour son originalité. En revanche, d’autres spectateurs ont exprimé des réserves, notamment concernant le rythme de la série, jugé parfois trop lent, ainsi qu’une mise en scène manquant de relief.
