Ce drame incroyable, réalisé par J. A. Bayona et inspiré d’une histoire vraie, sort sur la plateforme ce jeudi 4 janvier 2024. L’Éclaireur revient en trois points pour tout saisir du projet.
1 Un film inspiré d’une histoire vraie
En 1972, le vol Fuerza Aérea Uruguaya 571, transportant principalement l’équipe de rugby de Montevideo, va donner lieu à l’événement surnommé le drame de la cordillère des Andes.
Après le crash de l’avion à plus de 3 600 mètres d’altitude sur un glacier enneigé, les survivants apprennent par radio que les recherches sont interrompues et tentent de survivre, contraints de recourir au cannibalisme, avant qu’une partie des rescapés n’entreprenne un périple de plusieurs jours pour aller chercher de l’aide.
2 Un film réalisé par J.A. Bayona
Le réalisateur espagnol J. A. Bayona adapte ce drame incroyable et enrichit une filmographie déja bien prestigieuse.
Si son passage à Hollywood avec Jurassic World: Fallen Kingdom (2018) – ou la réalisation des deux premiers épisodes de la série Le Seigneur des Anneaux : les anneaux de pouvoir – n’est pas son particulièrement mémorable, le cinéaste s’est avant tout distingué dans la réalisation de films plus intimistes, comme L’Orphelinat (2007) ou Quelques minutes après minuit (2016).
The Impossible (2012), son premier film à gros budget, avec Ewan McGregor, Tom Holland et Naomi Watts, s’intéressait également à un véritablement drame humain : le tsunami de l’océan indien en 2004.
Avec Le Cercle des neiges, il revient ainsi à une de ses thématiques de prédilection : s’intéresser aux hommes et femmes au cœur de grands événements.
3 Un excellent accueil au sein de la profession
Avant même sa sortie sur Netflix, Le Cercle des neiges a déjà une réputation prestigieuse grâce aux différents festivals et aux sélections de prix à venir.
En plus de sa présence à la dernière Mostra de Venise et son excellent accueil critique, le film de J. A. Bayona est nommé aux prochains Golden Globes dans la catégorie meilleur film en langue étrangère, et figure dans la shortlist du meilleur film international pour les prochains Oscars. De quoi mettre l’accent sur les qualités indéniables du cinéaste, qui signe ici, selon la presse, son meilleur film.