Le premier roman de l’autrice canadienne est publié aujourd’hui en France et raconte avec humour l’histoire de Maggie, fraîchement divorcée.
À même pas 30 ans, Maggie entame une procédure de divorce. Son mariage avec Jon, rencontré à l’université n’aura au final duré que 608 jours. Elle pensait pourtant qu’il était le « bon ». Pour la première fois depuis sa majorité, la Canadienne se retrouve célibataire, fauchée, et découvre les achats compulsifs, les burgers à 4h du matin et le difficile retour au flirt… Face à ces changements, la jeune divorcée se posera des questions sur le bien fondé du mariage et sur l’amour, épaulée par ses amis de longue date.
Pour son premier roman, Monica Heisey raconte avec un humour qui rappelle Le Journal de Bridget Jones (1996), la vie d’une jeune femme confrontée aux remous de la vie amoureuse. Traduit en français chez Robert Laffont, Super bien, merci (2023) est publié ce jeudi en France.
Une nouvelle Bridget Jones
Née à Toronto, Monica Heisey vit désormais à Londres, après avoir quitté le Canada afin de poursuivre ses études en littérature moderne. Autrice, scénariste, essayiste et parfois comédienne, elle a notamment écrit pour The Guardian, le New Yorker et Playboy. Son premier ouvrage, I Can’t Believe It’s Not Better (2015), est une collection d’essais et d’histoires courtes, récompensée dans plusieurs revues spécialisées qui lui permet de décrocher plusieurs contrats en tant que scénariste.
La Canadienne a notamment participé à l’écriture de la sitcom Bienvenue à Schitt’s Creek, diffusée sur Netflix en France depuis 2019. Son premier roman Super bien, merci devrait être prochainement adapté à l’écran, en attendant une suite en librairie.
L’Éclaireur proposera bientôt un entretien avec Monica Heisey, pour discuter de son roman et de ses thèmes fétiches.