20th Century Games a dévoilé succinctement un nouveau jeu Aliens. Le studio Survious, spécialisé dans les expériences en réalité virtuelle, s’occupe du développement.
Dévoilée hier par l’entremise d’un communiqué plutôt avare, cette nouvelle entrée dans la riche lignée des jeux inspirés des films Alien se présentera davantage lors du Comic-Con de San Diego la semaine prochaine.
Un jeu d’action et d’horreur aussi jouable en réalité virtuelle
Peu de détails ont été communiqués sur celui que Survios a sobrement baptisé Aliens. Néanmoins, le fait que le titre soit au pluriel renseigne déjà sur la frise chronologique — chose que confirme le site officiel du jeu.
« Ce nouveau jeu Aliens proposera une histoire originale, se déroulant entre les films Alien et Aliens (le second opus, ndlr), dans laquelle un vétéran endurci mène une vendetta contre les Xénomorphes », peut-on y lire.
En plus de ce maigre synopsis, le site du studio fait également savoir que Aliens est développé sur le moteur Unreal Engine 5, lequel promet des graphismes d’un réalisme époustouflant. Le titre est attendu, sans plus de précision, sur « PC, consoles, et VR ».
Un digne successeur à Alien Isolation ?
Les fans de la licence imaginée par Ridley Scott en 1979 sont donc invités à ronger leur frein dans l’attente d’en savoir plus. Mais les quelques miettes d’infos disponibles laissent déjà imaginer un titre dans la veine de l’excellente surprise Alien Isolation, sorti en 2014.
Pensé comme une expérience solo horrifique, Aliens prend un chemin radicalement différent des autres jeux de la licence appartement à la Fox (et donc désormais à Disney).
L’an passé, les joueuses et joueurs avides d’expériences en collaboration avaient pu découvrir Aliens : Fireteam, qui a rencontré un succès modeste mais réel. Lors du Summer Game Fest le mois dernier, un certain Aliens : Dark Descent a également présenté du côté du studio français Tindalos Interactive (Battlefleet Gothic : Armada 2).
Ces annonces, additionnées à un nouveau projet de série et de film, viennent en tout cas confirmer que les Xénomorphes n’ont pas fini de hanter les spationautes à la dérive.