Cette nouvelle production super-héroïque rencontre un franc succès sur la plateforme de streaming. Au point de développer un nouveau chapitre ?
Avec SupraCell, Netflix tient sa nouvelle série à succès. Sur fond de propos social à Londres, l’œuvre super-héroïque suit le parcours de Michael Lasaki, bien décidé à réunir d’autres personnes dotées de pouvoirs dans le but de sauver la femme qu’il aime d’un futur funeste et incertain.
S’inspirant de Misfits, Heroes, Umbrella Academy ou encore Sense 8 (avec toutefois une thématique sociale très développée, la mutation génétique déclarant les pouvoirs ne touchant que les personnes de couleur), SupraCell a fait sensation en quelques jours grâce à ses nombreuses intrigues, ses surprises et ses retournements de situation.
La première saison se conclut sur un cliffhanger, rebattant les cartes sans forcément conclure les différents arcs narratifs développés tout au long des six épisodes. Une fin (très) ouverte, donc, qui appelle naturellement à une suite. Netflix n’a pas encore officialisé une saison 2, mais le succès récent du show devrait promettre à son créateur, Rapman, de poursuivre l’aventure.
Entre le mystère entourant la mutation à l’origine des pouvoirs, l’organisation traquant les protagonistes et le destin de la femme de Michael (fil rouge de la première salve), tout a été mis en place pour poursuivre le récit sur plusieurs chapitres.
Ce n’est que le commencement ?
Interrogé par Radio Times, Rapman a fait une comparaison entre SupraCell et la trilogie Batman de Christopher Nolan, indiquant que la première saison était comme Batman Begins (2005) : une introduction et une mise en place de la saga. « Cela ne fait que commencer », a-t-il affirmé.
Le cinéaste ne cache pas son ambition de développer encore son histoire pour approfondir la mythologie entourant ces super-héros d’un nouveau genre et leur personnalité. Parviendra-t-il à mettre en place tout l’univers qu’il avait imaginé ? Verdict d’ici quelques mois.
