Actu

Les Crimes de Grindelwald : 3 raisons de revoir le spin-off Harry Potter

21 avril 2024
Par Robin Negre
Jude Law dans “Les Animaux fantastiques : Les Crimes de Grindelwald”.
Jude Law dans “Les Animaux fantastiques : Les Crimes de Grindelwald”. ©Warner Bros.

Le second volet de la saga Les Animaux Fantastiques est diffusé ce dimanche 21 avril sur TF1. Retour sur les bonnes raisons de voir le meilleur opus de la trilogie.

1 Jude Law en Dumbledore

C’est le point fort de ce second film de la saga Les Animaux fantastiques ! Un jeune Albus Dumbledore, malicieux et plein de secrets rythme l’intrigue et pousse les protagonistes dans différentes directions. Le sorcier de la saga Harry Potter apparait ici nettement plus jeune sous les traits de Jude Law, qui apporte un charme et un charisme indéniable au personnage.

Avec sa stature et son talent pour toutes sortes de film, Jude Law offre un Dumbledore inédit, efficace à chacune de ses apparitions et bénéficiant du meilleur traitement dans Les Animaux fantastiques. Une façon également de relier cette saga avec celle d’Harry Potter et de commencer à détailler le passé du plus puissant sorcier du monde magique.

La bande-annonce des Animaux Fantastiques : Les Crimes de Grindelwald.

2 Le passé de Norbert Dragonneau

En parlant de passé, celui de Norbert Dragonneau, toujours incarné avec bienveillance par Eddie Redmayne, est également au centre de l’intrigue. Dans Les Animaux Fantastiques : Les Crimes de Grindelwald (2018), une ancienne relation fait son entrée en la personne de Leta Lestrange, sous les traits de la fascinante Zoë Kravitz.

En complexifiant les rapports entre les personnages et en offrant un passé plus ambigu à Norbert, le personnage gagne en intérêt et s’étoffe plus que dans le premier film.

29,99€
39,41€
En stock
Acheter sur Fnac.com

3 La France magique des années 1920

C’était le point de départ de la saga : faire voyager les personnages dans les grandes villes du monde au début et milieu du XXe siècle. Après New York dans Les Animaux Fantastiques (2015), Londres et surtout Paris sont montrés et permettent à la saga de continuer à exister en dehors de Poudlard.

Une façon ingénieuse de développer le monde des sorciers (et des moldus) tout en posant une mythologie plus vaste et plus ancienne. Avant Harry Potter, la magie avait déjà un grand intérêt !

À lire aussi

Article rédigé par