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Trois bonnes raisons de revoir Harry Potter à l’école des sorciers

24 octobre 2023
Par Robin Negre
Daniel Radcliffe, Rupert Grint et Emma Watson.
Daniel Radcliffe, Rupert Grint et Emma Watson. ©Warner Bros.

Le film est diffusé ce mardi 24 octobre sur TF1 et lance la traditionnelle rétrospective consacrée au sorcier, avec un volet par semaine, tous les mardis.

1 La direction artistique

C’est l’un des éléments principaux expliquant le succès de la saga. Sans la direction artistique prise dès ce premier volet, Harry Potter n’aurait pas autant convaincu le public. Une direction artistique absolument grandiose et surtout, tangible !

Le choix de filmer en décors réels, de s’inspirer de l’architecture de la Grande-Bretagne, de l’Écosse, de reconstruire le plus possible les pierres de Poudlard, tout en joutant sur les costumes, les lieux et l’inventivité de l’univers permet à Harry Potter à l’école des sorciers (2001) de gagner en authenticité. En rendant crédible le fantastique, Chris Colombus et ses équipes posent les bases de la saga et donnent vie à l’univers du sorcier à lunettes.

2 L’ambiance « conte » de ce premier film

Harry, Ron et Hermione sont jeunes dans le premier volet de la saga, tout comme leurs interprètes ! Harry Potter à l’école des sorciers est probablement le film le plus familial de la franchise, avant qu’elle ne tombe dans quelque chose de beaucoup plus sombre.

Certes, quelques scènes flottent déjà avec la peur, mais tout est fait pour introduire le spectateur dans un univers enchanteur et féérique, aidé par l’universalité de l’histoire racontée. Un jeune orphelin, un vieux sorcier mentor et une confrontation entre le Bien et le Mal… Les ingrédients sont classiques, mais fonctionnent !

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3 Le début d’une grande aventure 

En sortant de la salle en 2001, les spectateurs pouvaient difficilement anticiper la tournure qu’allait prendre la saga. Plus de 20 ans après, Harry Potter ne se présente plus, avec ses sept livres, ses huit films et spin-off, sa pièce de théâtre, ses jeux vidéos, ses parcs à thèmes, et une série à venir, mais revoir le premier volet, c’est retourner aux sources de l’adaptation cinématographique et redécouvrir certains éléments oubliés, mais aussi les comprendre différemment, avec un autre regard, et le temps qui a passé.

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