À l’approche du 31 octobre, la plateforme d’apprentissage des langues Preply a dévoilé son enquête des 30 films préférés des français pour Halloween. On décrypte le classement.
1 Un thriller à la première place
Le film culte Le Silence des agneaux (1991) se classe en haut du classement des films préférés des Français pour Halloween. Un choix surprenant ? Pas tellement. Bien que l’oeuvre de Jonathan Demme se rapproche plus du film policier que du film d’horreur, de nombreux éléments lui offrent toute la légitimé à figurer en haut de cette liste, à commencer par l’interprétation glaçante d’Anthony Hopkins.
Le Hannibal Lecter le plus connu est effrayant, avec son regard transperçant et son imprévisibilité. « J’ai dégusté son foie avec des fèves au beurre et un excellent chianti ». On ne fait pas mieux comme réplique pour le soir du 31…
2 Des réalisateurs évidents
Avec deux films dans le Top 10, Alfred Hitchcock démontre d’une popularité toujours aussi grande. Le maitre du suspens s’illustre avec Psychose (1960) et Les Oiseaux (1963), deux de ses films les plus appréciés et propices à Halloween. Psychose, avec son thème musical culte ou son manoir terrifiant — ayant inspiré l’attraction Phantom Manor à Disneyland Paris — et Les Oiseaux, avec la dangerosité de la nature, contiennent toutes les thématiques habituelles d’Hitchcock et prouve s’il le fallait, de sa maitrise cinématographique absolue.
Un autre réalisateur d’Halloween évident présent dans le classement est Tim Burton, avec Les Noces funèbres (2005) et Beetlejuice (1988). L’Étrange Noël de Mr. Jack (1993), réalisé par Henry Selick mais initié par Burton, figure également en cinquième place. Tim Burton, avec son approche gothique fantastique, est régulièrement désigné comme l’un des cinéastes les plus liés à Halloween et figure en bonne position dans ce classement.
3 Les nouveaux films d’horreur
Depuis plusieurs années, le genre horrifique évolue et accueille de nouvelles propositions originales, de plus en plus effrayantes ou de plus en plus gores. Le classement de Preply le montre bien, avec la présence de Saw (2004), saga appréciée pour sa torture visuelle, du premier opus de l’univers cinématographique Conjuring (2013) ou bien de REC (2007) et du Projet Blair Witch (1999), deux films de genre found footage, où l’histoire est montrée à travers la découverte des vidéos prises par les protagonistes…