
La Fnac Toulouse Wilson a le plaisir d’accueillir Amélie Nothomb pour une rencontre suivie d’une séance de dédicaces autour de son nouveau livre autobiographique « Psychopompe ».
L’AUTEURE –
Amélie Nothomb (nom de plume de Fabienne Claire Nothomb), est une romancière belge. Depuis son premier roman, « Hygiène de l’assassin », cette écrivaine, marraine de l’émission « La Grande Librairie » de François Busnel, publie un ouvrage par an. Détentrice de nombreux prix, dont le prix Renaudot pour « Premier Sang », elle a été nommée commandeur de l’ordre de la Couronne en Belgique. Écrivaine secrète, elle continue de fasciner et s’exporte à l’international, notamment au Japon où ses ouvrages sont particulièrement appréciés.
LE LIVRE –
» Ecrire, c’est voler. » Amélie Nothomb
Sélectionné pour le Prix Littéraire 2023 du journalLe Monde.
Dans son dernier livre, la romancière revient sur son amour des oiseaux et sa vocation d’écrivaine. L’autrice l’a choisi pour intituler son 32e roman : un ovni autobiographique.
Elle y a mis tous les ingrédients qui ont fait son succès : une touche de conte, un brin de mysticisme et quelques bizarreries
Dans «Psychopompe», son nouveau roman, Amélie Nothomb prend son envol
L’autrice revient sur sa jeunesse et donne quelques clés sur sa méthode, en racontant notamment pourquoi elle a écrit « Soif » et « Premier sang »… Tout cela sous forme d’autoportrait en oiseau
Le livre s’ouvre sur un vol de grues blanches et un petit conte cruel. Une femme fabrique des étoffes merveilleuses pour satisfaire l’appât du gain de son mari; il découvre qu’elle est en réalité une grue blanche et qu’elle arrache ses plumes, au prix de sa vie, pour les glisser dans le métier à tisser. Dès le début, il est question d’envol et de douleur, de légèreté et de beauté, d’écriture aussi (pour écrire, il faut tisser des mots).
Amélie Nothomb revient dans ces pages sur son amour des oiseaux, qui l’a conduite à sa vocation. Elle retraverse son enfance passée au Japon, en Chine, à New York, au Bangladesh ou en Birmanie, aux côtés d’un père diplomate. Dans chaque pays, son « obsession aviaire» n’a fait que croître.
Accès libre et gratuit dans la limite des places disponibles.