Tristane Banon en dédicace à la Fnac Boulogne !

L’AUTEURE –

Tristane Banon est une journaliste, écrivaine et chroniqueuse française, née le 13 juin 1979 à Neuilly-sur-Seine, en France. Elle est notamment connue pour son travail dans les médias, ainsi que pour son implication dans des affaires médiatiques et politiques. Elle a étudié le journalisme à l’Institut pratique du journalisme (IPJ) à Paris, où elle a obtenu son diplôme en 2002. Elle a commencé sa carrière de journaliste en travaillant pour des médias tels que Paris Première et LCI, où elle a animé des émissions et des débats. Elle s’est également fait connaître en tant que chroniqueuse dans des émissions télévisées comme « On n’est pas couché » aux côtés de Laurent Ruquier. En 2003, Tristane Banon a publié son premier livre intitulé « Erreurs avouées… au masculin », dans lequel elle critique la société française et les hommes politiques. Elle a ensuite écrit d’autres ouvrages, notamment « J’ai oublié de la tuer » en 2006, qui est une fiction inspirée de son expérience personnelle. En plus de son travail de journaliste et d’écrivaine, Tristane Banon s’engage également dans des causes sociales et politiques. Elle a notamment participé à des mouvements féministes et a été candidate aux élections législatives en 2012.

LE LIVRE – 

Quand «Dieu» est érigé en maître à penser politique, c’est la femme qui, la première, courbe l’échine. Il suffit d’observer les fondamentalistes islamistes imposer le niqab, la burqa, le tchador ou le hijab, les juifs ultra-orthodoxes perruquer leur femme, ou encore les traditionalistes catholiques aller jusqu’au meurtre lors de raids anti-avortement, pour s’en convaincre. Bien sûr, ils sont les radicaux, les extrémistes, ils sont ceux pour qui la religion est le moyen d’installer un ordre social au sein duquel la femme se soumet, s’oublie et vit cachée, à l’ombre des hommes. Ce livre ne veut pas faire le procès de la croyance, il appar-tient à chacun de décider ce en quoi il veut placer sa confiance, cela relève de l’intime. Mais aucun texte sacré – ni la Torah, ni la Bible, ni le Coran – ne veut l’émancipation de la femme, aucun ne lui reconnaît les mêmes possibles qu’aux hommes. Seuls existent des croyants humanistes, conscients de ce que les écrits ont à enseigner, et de ce qu’il faut savoir laisser au bord du chemin de l’universalisme. Alors que l’obscurantisme intégriste gagne doucement du terrain, bien plus ancré dans les mentalités que ce que l’on croit, Tristane Banon dénonce les grands marionnettistes de droit divin et rappelle qu’il n’y a pas de féminisme envisageable sans l’irrespect des religions et une bonne part de laïcité.

Accès libre et gratuit dans la limite des places disponibles. En privilégiant la mobilité douce ou les transports en commun, vous contribuez à réduire les émissions à effet de gaz et à améliorer la qualité de l’air.